Tzenga à la tribune

Nous devons être actif.
Dans le language courant, cela signifie travailler.
Mais nous devons nous souvenir du seul et unique but de notre activité : la survie !

Le travail selon la définition du monde moderne occidental,
ne fait pas la part qu'il mérite à ce but pourtant essentiel.

C'est pourquoi je préfère changer de vocabulaire pour exprimer ce but : la survie !

Notre devoir : l'activité.
Son but : la survie.

Fi du "travail" !!!

Nous les humains, ne souhaitons pas "travailler".
Ce mot est un leurre !
Il prétends être chargé de vertues, alors qu'il charrie des contraintes et rien que des contraintes.
Les "vertues" du travail sont celles de l'activité...

Que les personnes morales de tout ordre cèdent le pas devant les personnes physique.

Que l'activité humaine, soit au service de l'humain, et pas l'humain au service de son activité.

Dépenser de l'énergie doît amener un plus aux humains.

Nous devons savoir à quel "plus", chacune de nos actions se rapporte.
Si la réponse à cette question n'est pas évidente,
alors, c'est que notre action n'est pas forcément nécessaire,
et que nous sommes peut être en train de dépenser de l'énergie inutilement.

L'individu à un droit inaliénable à la libre expression.
Pour que ce droit ne soit pas vidé de sons sens, ce droit est indissociable d'un droit à la "bande passante" lui même lié à l'individu.

Tout individu à droit à son intégrité physique et mentale.
Tout individu, qui tenterait de réduire où d'annihiler l'intégrité physique ou mentale d'un autre individu, viole ce droit.

"Un pour tous et tous pour un" contient un crédo.

Nous souhaitons croire en cela.
Qu'en ce monde, chacun se sente responsable de lui même et de son prochain.

Les définitions des mots, au dela de celles du dictionnaire, sont
necessaires, pour permettre l'émergence des concepts les plus intangibles
possible.

La "table rase" de tout l'existant est impossible.

L'organisation des rapports humains doit se voir soumis à cette "définition
des besoins fondamentaux de l'humain".
Cette organisation des rapports prends en compte les "limites admises" de l'individu.
Cette organisation des rapports inclus des devoirs pour l'individu.